vendredi 8 décembre 2006

Le rôle d'un tuteur

Le rôle d'un tuteur par J.

La mission d'un tuteur est avant tout de favoriser l'arbitrage des matchs jeunes par les jeunes. Pour cela il doit aider les jeunes à arbitrer tout en les formant, en leur donnant des basses. Les qualités requises pour le rôle de tuteur sont qu'il doit être handballeur(se), qu'il doit être motivé par l'arbitrage mais aussi être un exemple pour les jeunes en étant responsable et décideur.
L'objectif que doit viser un tuteur dans son travail est de faire en sorte que le jeune arbitre progresse à chaque arbitrage. Et pour atteindre cette objectif, il doit motiver et soutenir le jeune arbitre dans sa prise de décision.
Bien sûre cela passe aussi par l'explication du pourquoi du comment sur les questions du jeune arbitre.
Une fois atteint les suites possibles pour le jeune arbitre est une progression dans les échelons fédéraux.
Le rôle du tuteur ne s'improvise pas, il y a des étapes chronologiques à suivre pour mener à bien sa mission lors d'un match.
Tout d'abord il y a la préparation des jeunes arbitres en leur ré expliquant les règles de jeu ou d'arbitrage qu'ils doivent travailler et les incontournables, comme la continuité du jeu et la protection des joueurs. Il faut aussi mettre en confiance les jeunes arbitres et les rassurer juste avant le match en les suivants dans leurs taches administratives.
Pendant le match il faut être un spectateur pour eux. Ils ne doivent pas nous regarder pour attendre notre accord pour siffler. Il faut les obligés à être décideur et responsable en les ignorants.
Par contre la gestion des bancs de touche reste sous la responsabilité du tuteur.
On prend note de leur points positifs et négatifs durant le match.
Et si vraiment il y a difficulté on peut intervenir. Moins on le fait, mieux c'est.
Puis vient l'après match. Tout d'abord on ne fait pas un retour à chaud, on leur laisse le temps de se changer et de parler entre eux.
A froid on essaye de faire un retour constructif en commençant par les points positifs. On détaille et parle avec eux de leurs points négatifs afin de leur donner des axes de travail et ainsi progresser.
Afin d'accompagner et de renforcer le retour oral, on rédige un rapport que l'on transmet aux jeunes arbitres.

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